Les Véhicules Électriques offrent une diminution très sensible du bruit en comparaison des véhicules thermiques. A la base, c’est un vrai confort d’usage, mais cela pose aussi problème car plus difficile à percevoir, à identifier, devenant un danger sur la route. On sait aussi que les constructeurs adorent personnaliser les sons émis par leurs véhicules afin d’enrichir l’expérience sensorielle. Revenons aux sons des véhicules électriques. Le danger potentiel d’un manque de son est une problématique à laquelle la Commission européenne s’est attaquée dès 2011 avec son projet eVADER (Electric Vehicle Alert for Detection and Emergency Response). L’objectif : définir un signal sonore identifiable par tous.Lire plus →

On entend beaucoup d’intervenants citer le nombre de points de charge comme le frein au développement de la Mobilité Électrique. Je n’en suis pas du tout convaincu (le développement suivra son cours au fur et à mlesure de la mise à disposition d’une offre au bon prix). En effet, les chiffres du réseau européen compte environ 1 point de charge pour 6 voitures électriques, soit bien plus que la recommandation européenne d’un pour 10. La France n’est pas en reste, et même plutôt en pointe sur le nombre de points de charge publics disponibles : plus de 26 100 à l’heure actuelle. Au total, 206Lire plus →

Mobileese conseil en mobilité électrique analyse le smart charging Les contraintes de recharge des véhicules électriques sont pour l’instant assez basiques. Ce qui compte le plus pour les utilisateurs, c’est comme pour le véhicule thermique, ne pas tomber en « panne sèche ». Aujourd’hui, selon des niveaux d’autonomie contrastés, le conducteur de véhicule électrique programme ses trajets et ses recharges selon le seul critère du niveau de batterie nécessaire. Mais si l’utilisateur du véhicule souhaite souscrire à des offres de fourniture d’électricité qui propose des tarifs d’électricité préférentiels à certaines heures, dans l’optique d’éviter la recharge en début de soirée où les pics de consommation électrique sontLire plus →

On a vu la semaine dernière le fonctionnement global d’une batterie Lithium-Ion, basé sur un échange d’ions lithium entre deux électrodes. Si on veut plus d’autonomie, il faut plus d’ions lithium à échanger entre l’électrode positive et l’électrode négative. Actuellement, on trouve du côté de l’électrode positive des composés à base de lithium, cobalt, manganèse, nickel et oxygène ou bien des phosphates de fer lithiés. Du côté de l’électrode négative, on trouve essentiellement du graphite. Le défaut le plus courant de la batterie au lithium est la possibilité que les 2 électrodes, baignées dans un électrolyte liquide à base de sel de lithium, rentrent enLire plus →

Les véhicules électriques (et hybrides) qui circulent sur les routes sont quasiment tous équipés de batteries. Globalement, une batterie délivre une tension d’usage, répond à une durée d’utilisation, nécessite une durée de recharge, subit des cycles de recharge, fonctionne sur une plage de températures et fournit une quantité d’énergie En mobilité électrique le critère n°1, c’est l’autonomie. Cela va se traduire par la mise en place d’un pack de batteries avec une capacité d’énergie globale exprimée en kilowatt-heure (kWh). Quel que soit le fabricant, la technologie de la batterie est la même, c’est le lithium-ion, parce qu’aujourd’hui c’est la plus performante. Le principe de fonctionnementLire plus →