L’IVL, Institut de Recherche Environnementale Suédois, a publié une nouvelle version de son rapport sur le bilan carbone des véhicules électriques, notamment sur la batterie.
Les chiffres sont en amélioration grâce à un rendement de production en hausse et plus efficace. Les sites de fabrication sont plus proches des constructeurs, ouvrant en Europe. L’utilisation de l’électricité nécessaire à la production provient aussi moins d’énergies fossiles.
En 2017, le cycle de production de batterie équivalait à des émissions de CO2 de 150 à 200 kg/kWh de capacité selon la V1 du rapport. Dans la version 2019, les émissions de CO2 sont maintenant entre 61 et 106 kg/kWh.
Quelles conséquences pour le futur de la mobilité électrique ?
A l’avenir, de nouveaux designs de batterie vont privilégier les composants non rares, ce qui aura un impact positif pour l’essor de la mobilité électrique.
Il reste indispensable que ce secteur industriel organise sa filière de manière optimale : production batterie ↔️ utilisation dans les véhicules électriques ↔️ utilisation dans des systèmes de stockage ↔️ recyclage avec un taux > 90%. Et le tout en circuit fermé, proche des lieux de production et de distribution !
Voir aussi : le simulateur CLIMOBIL présenté ici.